Les Cichlidés de l’Afrique de l’Ouest
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Né en 1956, Anton LAMBOJ est aquariophile affirmé depuis l’âge de 10 ans.
Dès l’âge adulte, il manifestera un intérêt tout particulier pour les Cichlidés de l’Ouest et du Centre de l’Afrique.
C’est ainsi que s’orienta sa formation académique à l’Université de Vienne.
Ses travaux, tant pour la maîtrise que pour le Doctorat furent centrés sur la systématique des Cichlidés Ouest-africains qui restent aujourd’hui son travail de base et son centre d’intérêt principal.
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Il est depuis 1998 enseignant et chercheur associé à l’Université de Vienne.
Ses travaux le menèrent au fil des années 17 fois en Afrique pour des collectes de terrain, et plusieurs fois en Asie du Sud-est et en Amérique du Sud.
Il est également associé de recherche avec le Musée Américain d’Histoire Naturelle de New-York, président de l’Association Autrichienne des clubs d’Aquariophilie et de terrariophilie, vice-président de l’Association Européenne d’Aquariophilie et de terrariophilie, et enfin, faut-il le dire, éditeur attaché à de multiples revues autrichiennes, allemandes, françaises et américaines concernant les Cichlidés.
C’est tout naturellement des Cichlidés de l’Afrique de l’Ouest que nous entretiendra Anton LAMBOJ.
On les rencontre dans les rivières contrairement aux autres Cichlidés que l’on rencontre dans les lacs.
Heterochromis multidens.
Tylochromis cf. lateralis : taille : 15 cm. On suppose que les espèces de ce genre pratiquent l’incubation buccale. C’est la femelle qui s’occupe des œufs.
Etia nguiti : on le rencontre à l’Est du Cameroun. Dès que les larves éclosent, un des deux parents s’occupent des larves.
Chilochromis duponti : on le rencontre au Sud du Gabon.
Au Congo on rencontre des Tilapias, au restaurant on les retrouve dans nos assiettes.
Oréochromis aureus : leur taille est plus ou moins grande entre 25 à 40 cm. On le rencontre au Sénégal, au Niger, Tchad, Bénoué, Nil, Jourdain. Le Mâle est plus grand et plus coloré que la femelle. La femelle pratique l’incubation buccale des œufs Cellule matriarcale. Il s’adapte à la taille des bacs. Si le bac est petit, le poisson reste petit aussi, dans la nature les poissons sont grands.
Oréochromis mossambicus : dans son habitat naturel d’Afrique orientale, il peut atteindre 40 à 50cm. C’est une espèce facile à entretenir et à reproduire. Ce poisson est polygame.
En colonies, le mâle pratique l’intimidation envers ses congénères, l’agressivité n’est pas très grande à condition qu’il soit placé dans de grands bacs. La femelle est plus petite et de teinte grise. Le mâle est plus grand et plus coloré que la femelle.
Le comportement de reproduction de ce Cichlide est intéressant à observer ainsi que les soins parentaux mais loin d’être idéale pour la vie en aquarium.
La ponte comprend plus ou moins 300 œufs.
Konia eisentrauti : taille : 10 cm. On le rencontre au Cameroun occidental : au lac Barombi-Ma-Mbu. Le mâle porte un masque, le patron de coloration est plus contrasté et il est plus grand que la femelle. Le mâle et la femelle pratique l’incubation buccale. L’incubation dure 3 semaines. La femelle n’est pas très colorée. Ils sont endémiques à ce lac.
Il est omnivore et il pratique le cannibalisme.
Il faut protéger ce poisson pour le hobby.
Myaka myaka : c’est un poisson du lac Tanganyika.
Seule la femelle incube et s’occupe des jeunes poissons.
Ces poissons se nourrissent de champignons.
Pungu maclareni : ce n’est pas une espèce normale, il est le fruit d’un travail phylogénétique (recherche de la formation et du développement des espèces animales et végétales), c’est un hybride naturel qui fournit une espèce stabilisée.
On le rencontre à l’Ouest du Cameroun au lac Barombi. Taille : 9 cm.
Les nageoires dorsale et anale du mâle sont pointues.
Régime alimentaire : Carnivore et omnivore. Prédateur du lac.
Stomatepia mariae : c’est un omnivore et il se nourrit de petits poissons, de crustacés.
Taille : 12 cm. C’est un incubateur buccal.
On le rencontre à l’Ouest du Cameroun au lac Barombi.
Le mâle est plus grand et le museau est plus long que la femelle.
Stomatepia mongo.
Sarotherodon lohbergeri : taille : 20 à 60 cm.
On le rencontre à l’Ouest du Cameroun, au lac Barombi et Kumbabach.
Le mâle est plus grand et plus coloré que la femelle.
Système de reproduction par les deux parents.
Le mâle et la femelle pratiquent l’incubation buccale des œufs. Cellule de type parental.
Sarotherodon galilaeus Burkina Faso.
Sarotherodon melanotheron Ghana : espèces différentes, pas d’incubation buccale par les deux sexes mais uniquement par le mâle et protection des larves.
On le rencontre en Afrique de l’Ouest : de la Côte d’Ivoire au Cameroun.
C’est une espèce territoriale, agressive à l’époque du frai envers les congénères et les autres poissons.
Gobiocichla wonderi : c’est un Cichlide rhéophile, on le rencontre dans les rivières rapides du Niger, dans les rivières du Cameroun et autre endroit. Il vit dans les profondeurs et il se nourrit d’algues.
C’est un pondeur sur substrat couvert et les jeunes dès qu’ils sont aptes à nager quittent leurs parents.
Ils ont une vessie natatoire atrophiée.
Steatocranus casuarius : taille : 10 cm. On le rencontre au Zaïre. Il habite les eaux lentes, comme celles qui comblent les fissures des rochers. Il préfère les eaux neutres ou alcalines de faible dureté. Il se reproduit dans n’importe quelle eau. Il accepte toute sorte de nourriture. La robe est de teinte grise. Ils possèdent une tête bossue ce qui fait leur charme. La femelle est de teinte plus claire, de coloration brun beige.
C’est un pondeur sur substrat couvert, Il se reproduit dans n’importe quelle eau.
Il pond de 30 à 100 œufs dans un pot de fleurs en terre cuite ou dans un tuyau en PVC.
Les parents prennent grand soin de leur progéniture.
Ils ont besoin d’un grand bac pour prendre de la vitesse de nage.
C’est un poisson calme, il n’est pas très agressif.
Steatocranus tinanti : taille : 15 cm.
On le rencontre dans le cours inférieur du Zaïre, à hauteur de Kinshasa et de Pomareibo.
Il préfère les eaux neutres à douces. Son habitat naturel étant les eaux à fort courant, il faut faire circuler abondamment l’eau dans le bac dans lequel il se trouve.
Il préfère une nourriture à base de vers aquacoles.
Lorsqu’un couple se forme, la reproduction est facile. Une grande femelle peut pondre plus de 100 œufs à la fois. C’est un incubateur sur substrat caché.
Cellule de type patriarcal et matriarcale.
Ce poisson accepte les juvéniles et les petits acceptent les plus petits juvéniles.
Steatocranus irvenei : taille : 8 cm.
On le rencontre au Ghana, Burkina Faso. Le mâle est légèrement plus grand que la femelle.
C’est un incubateur sur substrat caché, il peut pondre 200 œufs.
Espèce confortable pour les bacs.
Steatocranus sp. « Redeye ».
Tilapia buettikoferi ou Tilapia zèbre: grande espèce de 20 cm à 25 cm.
On le rencontre de la Guinée Bissau à l’Ouest du Liberia. Le mâle est de taille plus grande.
C’est un incubateur sur substrat découvert. Cellule de type parental et soins attentifs.
Cichlidés très problématiques, très stressant pour les autres poissons, surtout en période de reproduction.
Tilapia louka : taille : 25cm. Idem poisson stressant pour les autres poissons.
On le rencontre en Sierra Leone, Guinée, Côte d’Ivoire.
La gorge de la femelle est de teinte rouge vif.
C’est un incubateur sur substrat découvert. Cellule de type parental et soins attentifs.
Il est omnivore et herbivore.
Tilapia riweti : taille : 8 cm. Bac de 50 L.
En temps normal pas de problèmes, mais en cas de reproduction problème vis à vis des autres poissons. C’est le problème de l’espèce.
Tilapia snyderae : ventre rouge. Taille : 5 à 7 cm.
Il peut atteindre 25 cm lorsqu’il est bien nourrit de tubifex.
Anomalochromis thomasi : on le rencontre en Sierra Leone, au Sud-est de la Guinée et à l’Ouest du Liberia.
Les Tilapias du Sud sont différents des Tilapias du Nord.
Taille : 8 à 9 cm.
Les femelles portent des motifs noirs sur le corps et sont plus petites de taille.
C’est un incubateur buccal sur substrat découvert. Cellule de type parental.
La ponte compte +/- 500 œufs.
C’est le Cichlide parfait pour le débutant, il est calme avec les autres poissons et les plantes. On obtient de meilleures reproductions dans des eaux un peu douces.
Hemichromis elongatus : taille : 15 cm. On le rencontre au Nigeria de la Guinée au Zaïre, Angola et Zambie.
C’est un incubateur buccal sur substrat découvert. Cellule de type parental.
La ponte peut comporter 800 œufs.
Hemichromis elongatus fasciatus du Sénégal.
Hemichromis élongatus du Gabon.
Hemichromis fasciatus du Ghana : taille : 18 cm.
C’est le plus intelligent de tous les Cichlidés, mais très problématique car il prend possession à lui seul de tout l’aquarium et les autres sont confinés en espaces réduits.
On maintient le couple séparé par une vitre, jusqu’à ce que la femelle soit prête à pondre.
Celle-ci ne sera retirée que lorsque les deux partenaires sont tellement excités qu’ils sont sur le point de pondre sur la vitre de séparation chacun de son côté.
C’est seulement à ce moment là que la vitre peut être retirée pour rassembler les deux partenaires. Et malgré cela, un temps d’observation doit être respecté.
Hemichromis cf. stellifer : taille : 11 cm. On le rencontre au Gabon. Il est de teinte rouge.
Le mâle est légèrement plus grand et plus effilé.
C’est un incubateur buccal sur substrat découvert.
Il est très tolérant pour les autres poissons et les plantes.
Pterochromis cf. congicus.
Pelmatochromis nigrofasciatus : taille : 15 cm.
C’est un pondeur sur substrat découvert.
C’est un poisson très facile aussi.
Benitochromis batesii « lobe » : taille : 12 cm.
On le rencontre au Nigéria, Cameroun, USA Royaume Unis.
Ces poissons fréquentent les ruisseaux en forêt pluviale de débit variable en eau, la plupart du temps légèrement brune.
C’est un Cichlide paisible, il ne détériore pas les plantes. En revanche il est agressif vis à vis de ses congénères.
Il se reproduit dans des cavernes.
Les mâles pratiquent l’incubation également.
Benitochromis nigrodorsalis :
Le mâle et la femelle se partagent les tâches de l’incubation et de la surveillance des jeunes.
Benitochromis riomuniensis :
Ils se reproduisent en eau douce, on obtient un meilleur résultat qu’avec de l’eau dure.
Congochromis dimidiatus : taille : 10 à 12 cm.
Ils se reproduisent sur substrat couvert.
Ils préfèrent une eau douce au pH légèrement acide.
Il ne faut pas les nourrir avec des tubifex ou des enchytrées sinon les poissons meurent après quelques jours.
Chromidotilapia elongata :
Ils pratiquent l’incubation buccale.
Chromidotilapia G. guentheri : taille : 10 à 12 cm.
On le rencontre de la Sierra Leone au Congo.
Il est peu sensible aux variations des conditions aquatiques, il est facile à maintenir.
Il préfère les vers de vase, mais il s’habitue aux aliments en flocons.
Le couple pond ses œufs sur une pierre. Le mâle garde les œufs dans sa bouche après les avoir fécondés et la femelle veillent sur les alevins dès que ceux-ci sont capables de nager librement.
Le couple est stabilisé aussi.
Chromidotilapia nrac : on le rencontre au Gabon.
Divandu albimarginatus :
Après que le mâle a déposé les œufs et fertilisés ceux-ci, la femelle s’occupe seule des larves et des juvéniles. Le mâle cherche ensuite une autre femelle pour se reproduire.
C’est une forme polygamique, le mâle ne reste qu’une semaine ou deux avec une femelle.
Enigmatochromis lucanusi :
C’est un pondeur sur substrat couvert. L’espèce est bien stabilisée.
Limbochromis robertsi : taille : 11 à 12 cm pour le mâle et 8 à 9 cm pour la femelle.
On le rencontre au Ghana.
C’est un poisson très intéressant et très joli.
Il y a possibilité de 2 stratégies de reproduction : soit pondeur ou incubateur.
On ne connaît pas les raisons pour ce changement de comportement.
Au Ghana, il est en danger suite à la déforestation de l’environnement et la destruction de l’habitat pour la recherche de l’or.
Nanochromis wickleri.
Nanochromis teugelsi :
Pas très commun pour l’aquariophile. Ce sont des poissons de grande taille.
Parananochromis caudifasciatus : taille : 8 cm.
Pas très commun non plus. Poisson de teinte grise pour cette espèce.
Parananochromis longirostris : Taille : 12 cm pour le mâle.
On le rencontre au Sud du Cameroun, au nord du Gabon.
Les nageoires du mâle sont plus longues et son corps est recouvert de zones brillantes.
La femelle pratique l’incubation buccale ovophile.
Il pond sur substrat couvert à une température de 22 à 23°C maximum.
C’est un poisson de grande agressivité. Ce poisson est rare à trouver d’où la difficulté de posséder un couple.
Difficulté pour stabiliser la race.
Pelvicachromis humilis « Dinkaya » : taille : 11 à 12 cm.
On le rencontre au Liberia et au Sud-est de la Guinée.
La dorsale, l’anale et les pelviennes du mâle sont plus pointues.
C’est un incubateur sur substrat caché. Cellule de type patriarcal et matriarcale.
Pelvicachromis variété signatus.
Pelvicachromis pulcher : taille : 10 cm.
On le rencontre au sud du Nigeria.
La dorsale et l’anale du mâle sont plus pointues.
C’est un incubateur sur substrat caché. Cellule de type patriarcal et matriarcale.
La femelle pond plus ou moins 300 œufs.
C’est un bon poisson pour le débutant
Le couple est stabilisé.
Belle coloration, variété rouge, forme bleue. Différent suivant la région géographique.
Pelvicachromis subocellatus : taille : 10 cm.
On le rencontre à l’embouchure du Gabon et du Zaïre.
La dorsale et l’anale du mâle sont plus pointues.
C’est un incubateur sur substrat caché. Cellule de type patriarcal et matriarcale.
La femelle pond plus ou moins 200 œufs.
La femelle est de coloration plus intense et plus jolie que le mâle.
Pelvicachromis taeniatus « Nigeria yellow »
Pelvicachromis taeniatus « Nigeria » : taille : 9 cm.
On le rencontre au sud du Nigeria, au Cameroun.
La dorsale et l’anale du mâle sont plus pointues.
C’est un incubateur sur substrat caché. Cellule de type patriarcal et matriarcale.
Pelvicachromis « Moliwe » : taille : 8 cm pour le mâle et 5,5 cm pour la femelle.
On le rencontre dans l’Ouest du Cameroun.
Il est endémique d’un petit ruisseau qui croise la route de Victoria vers Kumba, entre les villages de Moliwe et Mile 4.
Pelvicachromis Sud Cameroun « Bandewouri »
Pelvicachromis « Wouri »
Pelvicachromis « Guinea »
Teleogramma « Brichardi » : taille : 12 cm.
On le rencontre au cours inférieur du Zaïre, entre Kinshasa et Matadi.
Condition rhéophile, on le rencontre dans les grands bacs. Pas facile de combiner avec d’autres Cichlides.
Le corps est de couleur noir et point rouge au centre du corps ou au rayon de la nageoire caudale.
La femelle porte un large liseré dorsal, plus coloré. La ponte comporte plus ou moins 30 œufs.
C’est un incubateur sur substrat caché. Cellule de type mâle-matriarcale.
Thysochromis ansorgii « Benin oueme-river » : taille : 13 cm.
On le rencontre au Nigeria, Côte d’Ivoire, Ghana, Cameroun.
Les nageoires de la femelle sont petites et rondes et tache blanche sur les nageoires.
C’est un incubateur sur substrat découvert ou caché. Cellule de type parental ou de type mâle matriarcale.
La ponte peut être de 500 œufs.
Lamprologus congoensis : Taille : 15 cm.
On le rencontre au lac Tanganyika. Originaire du Congo dans les zones rapides du Zaïre.
Le mâle possède une bosse frontale, il est de plus grande taille que la femelle et possède des écailles brillantes.
C’est un incubateur sur substrat caché. Cellule de type mâle-matriarcale.
Il est de teinte grise ou brune, son corps est de forme allongée.
Forte agressivité.
La ponte compte plus ou moins 80 œufs.
Les femelles sont très protectrices vis à vis des juvéniles.
Lamprologus mocquardi : taille : 15 cm.
La coloration est de teinte grise.
Astatotilapia calliptera : taille : 14 cm.
On le rencontre au lac Malawi et Chilwa. Il pratique l’incubation buccale.
Il utilise le système polygamique.
Le mâle est plus coloré et possède des ocelles sur la nageoire anale.
Ctenochromis polli : taille : 8 cm à 12 cm.
On le rencontre au Congo, près de Kinshasa.
Le mâle est plus grand que la femelle et possède un ocelle blanc unique sur la nageoire anale.
La femelle incube les œufs et les larves durant 30 jours. Cellule de type matriarcale.
Cyclopharynx fwae.
Orthochromis stormsi : taille : 12 cm.
On le rencontre en Afrique, au Zaïre.
Les mâles sont agames (se dit d’une espèce ne formant pas de lien stable entre partenaires pour la reproduction, que ce soit avant, pendant, ou après la ponte).
Les femelles incubent les œufs. Cellule de type maternel.
La robe est de teinte grise.
C’est un poisson rhéophile. Il est territorial.
Orthochromis machodoi : taille : 6 cm.
Pharyngochromis acuticeps.
Pseudocrenilabrus nicholsi : taille : 7 cm.
On le rencontre au bassin du Zaïre.
La femelle est plus pâle que le mâle. La femelle pratique l’incubation buccale des œufs.
Cellule de type matriarcale.
Pseudocrenilabrus cf. philander : taille : 11 cm.
On le rencontre en Afrique du Sud, Zambie, Mozambique, Angola, sud du Zaïre.
Le mâle est plus coloré.
La femelle pratique l’incubation buccale des œufs. Cellule de type matriarcale.
La ponte comprend plus ou moins 100 œufs.
Sargochromis coulteri : taille : 15 à 45 cm.
L’espèce est de grande agressivité.
Schwetzochromis neodon : taille : 12 cm.
On le rencontre au Zaïre : source et bassin supérieur du lac Fwae.
La nageoire anale du mâle possède des ocelles bien contrastés.
La femelle pratique l’incubation buccale des œufs et des larves pendant 21 jours.
Cellule de typa matriarcale, agame (se dit d’une espèce ne formant pas de lien stable entre partenaires pour la reproduction, que ce soit avant, pendant, ou après la ponte).
Serranochromis altus : taille : 60 à 70 cm.
C’est un des plus grands cichlides, peut-être un jour on le rencontrera dans nos aquariums, un bac de 3 à 4 m de long sera indispensable.
Thoracochromis brauschi : taille : 10 cm.
On le rencontre au fleuve Fwae, parfois appelé lac Fwae.
Le mâle est plus grand et plus coloré que la femelle.
La femelle pratique l’incubation buccale des œufs.
Thoracochromis buysi.
Monsieur LAMBOJ termine ici sa conférence, et remercie toute l’assemblée pour son attention.
Texte écrit par Madame Descamps Marie-France.
Secrétaire au Club « Le Pristella » de Châtelet.
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